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«Tu me niaises!» – Stéphane Waite en apprenant son congédiement

JOËL LEMAY / AGENCE QMI

Écrit par : Martin Ayotte

En résistant au premier couperet de Marc Bergevin, qui a sonné la fin de l’association de Claude Julien et de Kirk Muller avec l’équipe, Stéphane Waite croyait bien s’en être tiré. Du moins, jusqu’à la fin de la saison. Il était loin de se douter qu’on lui montrerait la porte quelques jours plus tard, encore moins en plein milieu d’un match.

Dans une généreuse entrevue avec Le Journal de Montréal, l’ancien entraîneur des gardiens a accepté de revenir sur les événements ayant mené à son congédiement, mardi dernier.

La troisième période venait à peine de commencer quand le directeur général du Canadien est entré dans la loge de Waite pour lui signifier que l’heure était venue de procéder à un changement d’entraîneur des gardiens de but.

«Je lui ai dit: “Tu me niaises!” Sérieusement, j’étais certain qu’il me niaisait», a raconté Waite, joint à sa résidence de Sherbrooke.

Comme il l’a par la suite expliqué en point de presse, Bergevin a montré du doigt l’inconstance affichée par Carey Price depuis quelques années. Du même souffle, il lui a fait part de l’urgence de la situation et de son inquiétude concernant son propre avenir.

«Il m’a dit: “Si Carey ne se replace pas, je suis le prochain [à perdre ma job].”» 


Waite a donc été invité à aller chercher ses effets personnels à son bureau et à quitter le Centre Bell. Un véritable tourbillon pour l’homme de hockey de 55 ans qui n’avait jamais vécu un congédiement.

«La décision était déjà prise»

Au-delà des circonstances particulières, Waite avait de quoi être surpris. Il venait de travailler intensivement pendant quatre jours avec Price. Selon sa propre évaluation, il voyait déjà des progrès.

«J’étais convaincu de replacer Carey. On avait établi un plan, on avait eu de bons entraînements, de bonnes rencontres. On avait déjà apporté quelques ajustements. C’était bien parti», a-t-il soutenu.

D’ailleurs, pendant que Waite se faisait montrer la porte, Price n’accordait qu’un seul but aux Sénateurs. Il en avait accordé 14 à ses trois sorties précédentes.

«Carey aurait eu beau arrêter 75 rondelles ce soir-là, je me serais fait congédier quand même. La décision était déjà prise, a mentionné Waite. Marc est payé pour prendre ces décisions-là. Je dois la respecter, même si je ne suis pas d’accord.»

 

 

Source : Journal de Montréal │ Jonathan Bernier




Dernière mise-à-jour de l'article : Vendredi 05 mars 2021 à 12:06:04

Écrit par : Martin Ayotte



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